Chez Randoline, nous aimons les outils, nous chérissons les objets avec lesquels nous partageons notre espace.
Ainsi la pince allongée pour tirer les courroies s’appelle Germaine.
Ainsi l’entonnoir qui sert à remplir les sachets de visserie s’appelle Marcel.
Mais il nous manquait Marie-Gauburge, qui désormais va remplacer les choses sans nom qui nous servaient de dépotoirs. Finis les sacs-poubelles ventrus, finis les récipients en plastique toujours trop petits. Marie-Gauburge trône fièrement dans l’atelier, à la fois élégante et gentiment dodue, telle la cabine de bain d’une plage du nord.
Marie-Gauburge, c’est la poubelle dans son excellence, sa perfection, sa majesté et sa génialité.
Dont acte.